Être infographiste-mutimédia pour didactum c’est savoir et devoir faire preuve de créativité sous contraintes permanentes. La meilleure des créativités paraît-il, parce qu’elle fait appel au sens de la responsabilité autant qu’au sens de l’esthétique.
Dans la phase de création et d’animation des contenus, Laureline est particulièrement attentive au rythme, à la stimulation permanente de l’apprenant. Il faut tout mettre en œuvre pour anticiper et contrer les effets d’une forme de lassitude et dans le même temps ne pas tomber dans les travers de la sur-gamification ou de l’infantilisation. Les enjeux et les risques, sujets des interventions de didactum, ne le supporteraient pas.
Sa propre stimulation Laureline la nourrit à chaque fois qu’elle peut vérifier combien la transmission de connaissances et de compétences dont elle est une composante précieuse permettent d’améliorer et de sécuriser un process mais surtout l’environnement de travail de celles et ceux à qui elle s’adresse, par écran interposé, avec sensibilité chaque jour.